55_2022-2023/55 - Nouvelle réglementation pour le télétravail transfrontalier
Pétitions
Changements sur " 55_2022-2023/55 - Nouvelle réglementation pour le télétravail transfrontalier"
Description (Français)
-<p><span style="color: black;">La fin de la pandémie Covid marque la fin des réglementations fiscales et sociales spéciales concernant le télétravail transfrontalier (en particulier le home office). Cette pétition demande qu'à long terme et de manière générale, une réglementation très simple et claire pour toutes les parties soit trouvée en faveur des travailleurs concernés. Dans le meilleur des cas, il ne doit plus y avoir de lien avec le pays à partir duquel le travailleur exerce son activité. Pour ce faire, il est demandé de moderniser les CDI respectives pour les adapter au monde du travail moderne.</span></p><p><br></p><p><span style="color: black;">Cela doit permettre l'exercice transfrontalier de l'activité jusqu'à 100%. Le travailleur devrait avoir la possibilité de choisir le droit social et fiscal applicable. Une compensation des impôts entre les pays concernés serait envisageable par le biais de fonds européens, voir à ce sujet la mise en œuvre pour les caisses d'assurance maladie légales (assurance obligatoire dans le pays de travail, sans cotisation dans le pays de résidence - en cas de prestations dans le pays de résidence par le biais de l'assurance maladie obligatoire, le pays de résidence les compense par le biais de fonds européens avec l'assurance maladie obligatoire du pays de travail).</span></p><p><span style="color: black;">En cas de résidence dans un autre pays (de l'UE) et de lieu de travail dans le pays, il existe des situations compliquées en matière de droit social et fiscal en rapport avec le télétravail, notamment le home office. Les habitants des régions frontalières sont particulièrement concernés. Mots-clés dans ce contexte : splitting fiscal, réserve de progression, droit du travail, droit social, obligation fiscale illimitée/limitée, attestations UE/EEE, A10 et Limosa dans le contexte des CDI respectives, qui sont en outre réglées différemment avec différents pays. En outre, l'adaptation manuelle et le contrôle ultérieur des déclarations d'impôt à déposer dans les pays concernés. Cette réglementation crée une charge supplémentaire énorme pour toutes les parties (employeurs, employés, services fiscaux des pays concernés et autres autorités) et limite en même temps la libre circulation des travailleurs. Dans le contexte de l'UE, des espaces Schengen, de la coopération eurégionale et de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans presque tous les secteurs, tout cela ne devrait plus être un problème aujourd'hui.</span></p><p><br></p><p><span style="color: black;">Deutch:</span></p><p>Mit Ende der Covid-Pandemie enden steuer- und sozialrechtliche Sonderregelungen zu grenzüberschreitender Telearbeit (insb. Homeoffice). Mit dieser Petition wird gefordert, dass langfristig und allgemeingültig eine für alle Seiten sehr einfache und eindeutige Nachfolgeregelung zugunsten der betroffenen Arbeitnehmer gefunden wird. Es soll bestenfalls kein Zusammenhang mehr zu dem Land bestehen, von dem aus der Arbeitnehmer die Tätigkeit ausführt. Dazu wird eine Modernisierung der jeweiligen DBA an die moderne Arbeitswelt gefordert.</p><p>Dies soll grenzüberschreitende Ausübung der Tätigkeit bis zu 100% ermöglichen. Eine Wahlmöglichkeit des anzuwendenden Sozial- und Steuerrechts seitens des Arbeitnehmers sollte bestehen. Eine Verrechnung von Steuern zwischen den beteiligten Ländern wäre über EU-Töpfe denkbar, vergleiche dazu die Umsetzung bei gesetzlichen Krankenkassen (pflichtversichert Arbeitsland, beitragsfrei im Wohnland - bei Leistungen im Wohnland über gKV Wohnland verrechnet diese über EU-Töpfe mit gKV Arbeitsland)</p><p>Bei Wohnsitz im (EU-)Ausland und Arbeitsstätte im Inland ergeben sich u.a. komplizierte sozial- und steuerrechtliche Sachverhalte im Zusammenhang mit Telearbeit, insb. Homeoffice. Insbesondere Betroffen sind davon Bewohner der Grenzregionen. Stichworte in diesem Zusammenhang: Steuersplitting, Progressionsvorbehalt, Arbeitsrecht, Sozialrecht, unbeschränkte/beschränkte Steuerpflicht, EU/EWR-, A10- und Limosa-Bescheinigungen vor dem Hintergrund der jeweiligen DBA, die darüber hinaus noch mit verschiedenen Ländern unterschiedlich geregelt sind. Darüber hinaus manuelle Anpassung und anschließende Kontrolle über die Steuererklärungen, die in den beteiligten Ländern einzureichen sind. Die Regelung schafft auf allen Seiten (Arbeitgeber, Arbeitnehmer, Finanzämter der beteiligten Länder und weiteren Behörden) enorme Zusatzlasten und schränkt gleichzeitig die Arbeitnehmerfreizügigkeit ein. Dadurch werden grenzüberschreitend tätige Arbeitnehmer gegenüber denen mit Inlandswohnsitz benachteiligt.Vor dem Hintergrund der EU, Schengenräumen, euregionaler Zusammenarbeit und Fachkräftemangel in bald allen Branchen sollte all dies heutzutage kein Thema mehr sein.</p><p><br></p><p>English:</p><p><span style="color: black;">With the end of the Covid pandemic, special regulations under tax and social law on cross-border telework (especially home office) will come to an end. This petition demands that in the long term and on a general basis, a very simple and unambiguous successor regulation be found for the benefit of the workers concerned. At best, there should no longer be a connection to the country from which the employee carries out the activity. To this end, a modernisation of the respective DTAs to the modern world of work is called for.</span></p><p><span style="color: black;">This should allow up to 100% cross-border work. The employee should be able to choose the applicable social and tax law. An offsetting of taxes between the countries involved would be conceivable via EU pots, compare the implementation of statutory health insurance (compulsory insurance in the country of work, non-contributory in the country of residence - in the case of benefits in the country of residence via statutory health insurance, the country of residence offsets these via EU pots with statutory health insurance in the country of work).</span></p><p><span style="color: black;">If you live abroad (in the EU) and work in Germany, complicated social and tax issues arise in connection with teleworking, especially home office. This particularly affects residents of border regions. Keywords in this context: tax splitting, progression proviso, labour law, social law, unlimited/restricted tax liability, EU/EEA, A10 and Limosa certificates against the background of the respective DTAs, which are also regulated differently with various countries. In addition, manual adjustment and subsequent control over the tax returns to be filed in the countries involved. The regulation creates enormous additional burdens on all sides (employers, employees, tax offices of the countries involved and other authorities) and at the same time restricts the free movement of workers. Against the background of the EU, Schengen areas, Euregional cooperation and a shortage of skilled workers in almost all sectors, all this should no longer be an issue.</span></p>- +<p><span style="color: black;">La fin de la pandémie Covid marque la fin des réglementations fiscales et sociales spéciales concernant le télétravail transfrontalier (en particulier le home office). Cette pétition demande qu'à long terme et de manière générale, une réglementation très simple et claire pour toutes les parties soit trouvée en faveur des travailleurs concernés. Dans le meilleur des cas, il ne doit plus y avoir de lien avec le pays à partir duquel le travailleur exerce son activité. Pour ce faire, il est demandé de moderniser les CDI respectives pour les adapter au monde du travail moderne.</span></p><p><span style="color: black;">Cela doit permettre l'exercice transfrontalier de l'activité jusqu'à 100%. Le travailleur devrait avoir la possibilité de choisir le droit social et fiscal applicable. Une compensation des impôts entre les pays concernés serait envisageable par le biais de fonds européens, voir à ce sujet la mise en œuvre pour les caisses d'assurance maladie légales (assurance obligatoire dans le pays de travail, sans cotisation dans le pays de résidence - en cas de prestations dans le pays de résidence par le biais de l'assurance maladie obligatoire, le pays de résidence les compense par le biais de fonds européens avec l'assurance maladie obligatoire du pays de travail).</span></p><p><span style="color: black;">En cas de résidence dans un autre pays (de l'UE) et de lieu de travail dans le pays, il existe des situations compliquées en matière de droit social et fiscal en rapport avec le télétravail, notamment le home office. Les habitants des régions frontalières sont particulièrement concernés. Mots-clés dans ce contexte : splitting fiscal, réserve de progression, droit du travail, droit social, obligation fiscale illimitée/limitée, attestations UE/EEE, A10 et Limosa dans le contexte des CDI respectives, qui sont en outre réglées différemment avec différents pays. En outre, l'adaptation manuelle et le contrôle ultérieur des déclarations d'impôt à déposer dans les pays concernés. Cette réglementation crée une charge supplémentaire énorme pour toutes les parties (employeurs, employés, services fiscaux des pays concernés et autres autorités) et limite en même temps la libre circulation des travailleurs. Dans le contexte de l'UE, des espaces Schengen, de la coopération eurégionale et de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans presque tous les secteurs, tout cela ne devrait plus être un problème aujourd'hui.</span></p><p><br></p><p><span style="color: black;">Deutch:</span></p><p>Mit Ende der Covid-Pandemie enden steuer- und sozialrechtliche Sonderregelungen zu grenzüberschreitender Telearbeit (insb. Homeoffice). Mit dieser Petition wird gefordert, dass langfristig und allgemeingültig eine für alle Seiten sehr einfache und eindeutige Nachfolgeregelung zugunsten der betroffenen Arbeitnehmer gefunden wird. Es soll bestenfalls kein Zusammenhang mehr zu dem Land bestehen, von dem aus der Arbeitnehmer die Tätigkeit ausführt. Dazu wird eine Modernisierung der jeweiligen DBA an die moderne Arbeitswelt gefordert.</p><p>Dies soll grenzüberschreitende Ausübung der Tätigkeit bis zu 100% ermöglichen. Eine Wahlmöglichkeit des anzuwendenden Sozial- und Steuerrechts seitens des Arbeitnehmers sollte bestehen. Eine Verrechnung von Steuern zwischen den beteiligten Ländern wäre über EU-Töpfe denkbar, vergleiche dazu die Umsetzung bei gesetzlichen Krankenkassen (pflichtversichert Arbeitsland, beitragsfrei im Wohnland - bei Leistungen im Wohnland über gKV Wohnland verrechnet diese über EU-Töpfe mit gKV Arbeitsland)</p><p>Bei Wohnsitz im (EU-)Ausland und Arbeitsstätte im Inland ergeben sich u.a. komplizierte sozial- und steuerrechtliche Sachverhalte im Zusammenhang mit Telearbeit, insb. Homeoffice. Insbesondere Betroffen sind davon Bewohner der Grenzregionen. Stichworte in diesem Zusammenhang: Steuersplitting, Progressionsvorbehalt, Arbeitsrecht, Sozialrecht, unbeschränkte/beschränkte Steuerpflicht, EU/EWR-, A10- und Limosa-Bescheinigungen vor dem Hintergrund der jeweiligen DBA, die darüber hinaus noch mit verschiedenen Ländern unterschiedlich geregelt sind. Darüber hinaus manuelle Anpassung und anschließende Kontrolle über die Steuererklärungen, die in den beteiligten Ländern einzureichen sind. Die Regelung schafft auf allen Seiten (Arbeitgeber, Arbeitnehmer, Finanzämter der beteiligten Länder und weiteren Behörden) enorme Zusatzlasten und schränkt gleichzeitig die Arbeitnehmerfreizügigkeit ein. Dadurch werden grenzüberschreitend tätige Arbeitnehmer gegenüber denen mit Inlandswohnsitz benachteiligt.Vor dem Hintergrund der EU, Schengenräumen, euregionaler Zusammenarbeit und Fachkräftemangel in bald allen Branchen sollte all dies heutzutage kein Thema mehr sein.</p><p><br></p><p>English:</p><p><span style="color: black;">With the end of the Covid pandemic, special regulations under tax and social law on cross-border telework (especially home office) will come to an end. This petition demands that in the long term and on a general basis, a very simple and unambiguous successor regulation be found for the benefit of the workers concerned. At best, there should no longer be a connection to the country from which the employee carries out the activity. To this end, a modernisation of the respective DTAs to the modern world of work is called for.</span></p><p><span style="color: black;">This should allow up to 100% cross-border work. The employee should be able to choose the applicable social and tax law. An offsetting of taxes between the countries involved would be conceivable via EU pots, compare the implementation of statutory health insurance (compulsory insurance in the country of work, non-contributory in the country of residence - in the case of benefits in the country of residence via statutory health insurance, the country of residence offsets these via EU pots with statutory health insurance in the country of work).</span></p><p><span style="color: black;">If you live abroad (in the EU) and work in Germany, complicated social and tax issues arise in connection with teleworking, especially home office. This particularly affects residents of border regions. Keywords in this context: tax splitting, progression proviso, labour law, social law, unlimited/restricted tax liability, EU/EEA, A10 and Limosa certificates against the background of the respective DTAs, which are also regulated differently with various countries. In addition, manual adjustment and subsequent control over the tax returns to be filed in the countries involved. The regulation creates enormous additional burdens on all sides (employers, employees, tax offices of the countries involved and other authorities) and at the same time restricts the free movement of workers. Against the background of the EU, Schengen areas, Euregional cooperation and a shortage of skilled workers in almost all sectors, all this should no longer be an issue.</span></p>