55_2020-2021/14 - Modifier la loi sur la sortie du nucléaire

Pétitions

Zeitraum der Unterschriftensammlung 08/12/2020 - 30/06/2021

Initiative

Änderungen an „55_2020-2021/14 - Modifier la loi sur la sortie du nucléaire“

Vergleichsansicht:

Titel (Deutsch)

Beschreibung (Français)

-Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
+
Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
-C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.
+C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

~~-Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.~~
+Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
-C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.
+C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

Löschungen

-Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
-C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

Ergänzungen

+
Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
+C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

Löschungen

~~-Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.~~
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
-C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

Ergänzungen

+Cette pétition vise à supprimer l'art. 3 de la loi de sortie du nucléaire du 31 janvier 2003.
Cet article prévoit: "Aucune nouvelle centrale nucléaire destinée à la production industrielle d'électricité par fission de combustibles nucléaires ne peut être établie et / ou mise en service."
Le gouvernement actuel confirme dans son accord de coalition et dans des déclarations récentes la sortie de l'énergie nucléaire en Belgique d'ici 2025.
Le dernier réacteur nucléaire de l'actuel 7 cessera donc, comme l'exige la loi, de fournir de l'électricité au réseau le 1er décembre 2025.
Cependant, l'article 3 de cette loi n'autorise pas non plus l'utilisation de la nouvelle technologie de fission nucléaire comme application dans le futur mix énergétique belge.
Notre pays est un chef de file mondial de la technologie de l'énergie nucléaire. Une technologie qui a beaucoup progressé depuis 2003 (l'introduction de cette loi) et qui offre de nouvelles solutions potentielles prometteuses dans le contexte de la problématique climatique. Il serait dommage d'exclure l'option nucléaire par définition à l'avenir.
Le consensus scientifique donne à l'énergie nucléaire une place dans l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique. Le IPCC et de nombreuses autres études et rapports universitaires et scientifiques indiquent que la nouvelle énergie nucléaire fait partie de la solution et non du problème.
Et bien que la loi de sortie du nucléaire n'interdise pas la recherche sur la technologie de l'énergie nucléaire, cet article 3 paralyse les investissements de notre pays dans ce secteur. Qui investit dans une technologie dans un pays où la technologie ne pourra jamais être exploitée?
+C'est pourquoi cette pétition qui demande la suppression de cet article. Cela signifie que la sortie actuelle du nucléaire se poursuivra, mais la production d'électricité basée sur la nouvelle technologie de l'énergie nucléaire ne sera pas rendue impossible en Belgique à l'avenir.

Beschreibung (Nederlands)

-Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
+
Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.
+

~~-Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.~~
+Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.
+

Löschungen

-Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.

Ergänzungen

+
Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.
+

Löschungen

~~-Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.~~
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.

Ergänzungen

+Deze petitie beoogt het schrappen van art. 3 uit de wet op de kernuitstap van 31 januari 2003.
Dit artikel bepaalt: "Geen enkele nieuwe nucleaire centrale bestemd voor de industriële elektriciteitsproductie door splijting van kernbrandstoffen, kan worden opgericht en/of in exploitatie gesteld."
De huidige regering bevestigt in haar regeerakkoord en in recente verklaringen de uitstap uit kernenergie in België tegen 2025.
De laatste kernreactor van de huidige 7 zal bijgevolg zoals de wet het voorschrijft stoppen met leveren van elektriciteit op het net op 1 december 2025.
Artikel 3 van deze wet laat echter tevens niet toe om nieuwe technologie op basis van kernsplijting als toepassing te gebruiken in de toekomstige energiemix van België.
Ons land is een wereldleider op vlak van kernenergietechnologie. Een technologie die sinds 2003 (het instellen van deze wet) veel vooruitgang heeft geboekt en nieuwe veelbelovende potentiële oplossingen aanbiedt in het kader van de klimaatproblematiek. Het zou zonde zijn om de optie kernenergie in de toekomst per definitie uit te sluiten.
De wetenschappelijke consensus geeft kernenergie een plaats in de toekomst van de aanpak tegen de klimaatopwarming. Zowel het IPCC als vele andere universitaire en wetenschappelijke studies en rapporten geven aan dat nieuwe kernenergie een deel van de oplossing is en niet van het probleem.
En hoewel de wet op de kernuitstap onderzoek naar kernenergietechnologie niet verbiedt, fnuikt dit artikel 3 investeringen in ons land in deze sector. Wie investeert in een technologie in een land waar de technologie nooit geëxploiteerd zal mogen worden?
Daarom deze petitie die vraagt om dit artikel dus te schrappen. Hiermee blijft de huidige kernuitstap doorgaan, maar wordt elektriciteitsopwekking op basis van nieuwe kernenergietechnologie in de toekomst niet onmogelijk gemaakt in België.
+

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Version erstellt am 02.09.2021 09:55