56_2025-2026/4 - Proposition citoyenne – Belgium 2040
Pétitions
Änderungen an „56_2025-2026/4 - Proposition citoyenne – Belgium 2040“
Titel (Nederlands)
-Proposition citoyenne – Belgium 2040- +56_2025-2026/4 - Burgervoorstel – Belgium 2040
Titel (Français)
- +56_2025-2026/4 - Proposition citoyenne – Belgium 2040
Titel (Deutsch)
Beschreibung (Nederlands)
-Proposition citoyenne – Belgium 2040-Pour une Belgique trilingue, unie et compétitive : l’anglais comme langue de travail fédérale-Présentée par : Djino LEGRAND-Date : Octobre 2025---Résumé exécutif-La Belgique, au cœur de l’Europe, est reconnue pour son pluralisme linguistique et culturel.-Toutefois, dans un contexte mondial dominé par la mobilité internationale, la digitalisation et la-compétition économique, l’usage de plusieurs langues officielles au sein d’un même territoire-constitue parfois un frein à l’efficacité économique et administrative.-La présente proposition vise à introduire l’anglais comme langue de travail fédérale dans les-domaines économiques, technologiques et institutionnels, tout en préservant les trois langues-nationales (français, néerlandais, allemand) pour la culture, l’enseignement régional et la vie-quotidienne.-Ce modèle garantirait la neutralité linguistique entre les régions et renforcerait la position de la-Belgique comme pôle économique international.-1. Contexte et justification-- La Belgique abrite les institutions européennes, l’OTAN et de nombreuses multinationales où-l’anglais est déjà la langue opérationnelle.-- Les entreprises belges travaillent souvent en anglais, notamment dans la logistique, la finance,-la pharmacie, la technologie et la recherche.-- Les tensions linguistiques internes ralentissent encore certaines coopérations interrégionales.-- La montée en puissance de l’économie numérique mondiale rend la maîtrise de l’anglais-incontournable pour le commerce et l’innovation.-2. Objectifs stratégiques-1. Accroître la compétitivité économique de la Belgique à l’échelle mondiale.-2. Faciliter la coopération interrégionale en introduisant une langue neutre au niveau fédéral.-3. Attirer les talents internationaux et renforcer l’attractivité des entreprises belges.-4. Promouvoir une éducation trilingue axée sur les compétences du futur.-5. Consolider l’image de la Belgique comme modèle européen d’ouverture linguistique.-3. Avantages économiques, éducatifs et diplomatiques-Économie-- Simplification des échanges commerciaux et administratifs entre régions.-- Renforcement de l’attractivité du territoire pour les investisseurs étrangers.-- Meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales (logistique, innovation, finance).-- Création d’emplois à haute valeur ajoutée dans les secteurs internationaux.-Éducation-- Renforcement de l’enseignement de l’anglais dès le primaire, tout en maintenant les langues-régionales.-- Développement d’un système éducatif trilingue préparant les jeunes Belges à un marché du-travail globalisé.-- Augmentation du nombre d’étudiants étrangers dans les universités belges.-Diplomatie et image internationale-- Positionnement de la Belgique comme modèle européen du multilinguisme pragmatique.-- Renforcement du rôle de Bruxelles comme capitale internationale des affaires et de la-diplomatie.-- Contribution à la construction d’une Europe linguistiquement ouverte et unie.-4. Mise en œuvre progressive (2026–2040)-Phase 1 : 2026–2030 – Adaptation volontaire-- Introduction de l’anglais comme langue de travail optionnelle dans les entreprises publiques et-privées.-- Développement de programmes pilotes dans les administrations fédérales et les institutions-économiques.-Phase 2 : 2030–2035 – Éducation et normalisation-- Généralisation de l’enseignement de l’anglais renforcé à tous les niveaux scolaires.-- Création de formations bilingues (anglais + langue nationale) pour les fonctionnaires.-- Mise à jour des outils administratifs et juridiques fédéraux en anglais.-Phase 3 : 2035–2040 – Adoption officielle-- Adoption de l’anglais comme langue de travail fédérale dans l’administration, l’économie et la-diplomatie.-- Maintien des langues nationales dans tous les domaines culturels, éducatifs et régionaux.-- Lancement d’une campagne nationale “Belgium 2040 : united in languages”.-5. Impact sociétal et identitaire-- Réduction des tensions linguistiques historiques par l’usage d’une langue neutre commune.-- Maintien des identités régionales et culturelles grâce à la protection des langues nationales.-- Émergence d’une génération ouverte, polyglotte et confiante dans son rôle européen.-6. Conclusion-La Belgique de 2040 peut devenir le carrefour linguistique et économique de l’Europe, un pays-qui unit ses citoyens sans uniformiser leurs identités.-L’introduction de l’anglais comme langue de travail fédérale représente une évolution-pragmatique, respectueuse des traditions, tournée vers l’avenir et capable de renforcer-durablement la prospérité nationale.-“L’anglais ne remplacerait pas nos langues, il les unirait.”-— Djino LEGRAND 23/12/1995, Citoyen belge engagé- +<p>Aan de Kamer wordt gevraagd van het Engels de werktaal te maken in de federale overheid.</p>
Beschreibung (Français)
- +<p>Pour une Belgique trilingue, unie et compétitive : l’anglais comme langue de travail fédérale</p><p>La Belgique, au cœur de l’Europe, est reconnue pour son pluralisme linguistique et culturel.</p><p>Toutefois, dans un contexte mondial dominé par la mobilité internationale, la digitalisation et la compétition économique, l’usage de plusieurs langues officielles au sein d’un même territoire constitue parfois un frein à l’efficacité économique et administrative.</p><p>La présente proposition vise à introduire l’anglais comme langue de travail fédérale dans les domaines économiques, technologiques et institutionnels, tout en préservant les trois langues nationales (français, néerlandais, allemand) pour la culture, l’enseignement régional et la vie quotidienne.</p><p>Ce modèle garantirait la neutralité linguistique entre les régions et renforcerait la position de la Belgique comme pôle économique international.</p><p>1. Contexte et justification</p><p>- La Belgique abrite les institutions européennes, l’OTAN et de nombreuses multinationales où l’anglais est déjà la langue opérationnelle.</p><p>- Les entreprises belges travaillent souvent en anglais, notamment dans la logistique, la finance, la pharmacie, la technologie et la recherche.</p><p>- Les tensions linguistiques internes ralentissent encore certaines coopérations interrégionales.</p><p>- La montée en puissance de l’économie numérique mondiale rend la maîtrise de l’anglais incontournable pour le commerce et l’innovation.</p><p>2. Objectifs stratégiques</p><p>1. Accroître la compétitivité économique de la Belgique à l’échelle mondiale.</p><p>2. Faciliter la coopération interrégionale en introduisant une langue neutre au niveau fédéral.</p><p>3. Attirer les talents internationaux et renforcer l’attractivité des entreprises belges.</p><p>4. Promouvoir une éducation trilingue axée sur les compétences du futur.</p><p>5. Consolider l’image de la Belgique comme modèle européen d’ouverture linguistique.</p><p>3. Avantages économiques, éducatifs et diplomatiques</p><p>Économie</p><p>- Simplification des échanges commerciaux et administratifs entre régions.</p><p>- Renforcement de l’attractivité du territoire pour les investisseurs étrangers.</p><p>- Meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales (logistique, innovation, finance).</p><p>- Création d’emplois à haute valeur ajoutée dans les secteurs internationaux.</p><p>Éducation</p><p>- Renforcement de l’enseignement de l’anglais dès le primaire, tout en maintenant les langues régionales.</p><p>- Développement d’un système éducatif trilingue préparant les jeunes Belges à un marché du travail globalisé.</p><p>- Augmentation du nombre d’étudiants étrangers dans les universités belges.</p><p>Diplomatie et image internationale</p><p>- Positionnement de la Belgique comme modèle européen du multilinguisme pragmatique.</p><p>- Renforcement du rôle de Bruxelles comme capitale internationale des affaires et de la diplomatie.</p><p>- Contribution à la construction d’une Europe linguistiquement ouverte et unie.</p><p>4. Mise en œuvre progressive (2026–2040)</p><p>Phase 1 : 2026–2030 – Adaptation volontaire</p><p>- Introduction de l’anglais comme langue de travail optionnelle dans les entreprises publiques et privées.</p><p>- Développement de programmes pilotes dans les administrations fédérales et les institutions économiques.</p><p>Phase 2 : 2030–2035 – Éducation et normalisation</p><p>- Généralisation de l’enseignement de l’anglais renforcé à tous les niveaux scolaires.</p><p>- Création de formations bilingues (anglais + langue nationale) pour les fonctionnaires.</p><p>- Mise à jour des outils administratifs et juridiques fédéraux en anglais.</p><p>Phase 3 : 2035–2040 – Adoption officielle</p><p>- Adoption de l’anglais comme langue de travail fédérale dans l’administration, l’économie et la diplomatie.</p><p>- Maintien des langues nationales dans tous les domaines culturels, éducatifs et régionaux.</p><p>- Lancement d’une campagne nationale “Belgium 2040 : united in languages”.</p><p>5. Impact sociétal et identitaire</p><p>- Réduction des tensions linguistiques historiques par l’usage d’une langue neutre commune.</p><p>- Maintien des identités régionales et culturelles grâce à la protection des langues nationales.</p><p>- Émergence d’une génération ouverte, polyglotte et confiante dans son rôle européen.</p><p>6. Conclusion</p><p>La Belgique de 2040 peut devenir le carrefour linguistique et économique de l’Europe, un pays qui unit ses citoyens sans uniformiser leurs identités.</p><p>L’introduction de l’anglais comme langue de travail fédérale représente une évolution pragmatique, respectueuse des traditions, tournée vers l’avenir et capable de renforcer durablement la prospérité nationale.</p><p>“L’anglais ne remplacerait pas nos langues, il les unirait.”</p><p>— Djino LEGRAND 23/12/1995, Citoyen belge engagé</p>